La recherche épigénétique a renversé la croyance qui faisait de notre génétique une fatalité. Elle nous démontre aujourd’hui que nous ne sommes pas régis par nos gènes mais bien par l’impact de la chimie de notre corps sur ces derniers, et ce pour plus de 90%. Notre santé dépend donc de notre environnement interne et externe.
Notre environnement externe relève notamment de notre alimentation, de notre activité physique, de notre exposition aux rayons UV, etc. Le principal régisseur de notre environnement interne, quant à lui, se trouve être notre cerveau !
En effet, nos croyances, nos émotions et états d’être génèrent en permanence des neurotransmetteurs, hormones et autres neurosécrétions. Ces dernières sont reçues et traitées par nos cellules, pouvant induire des modifications dans l’expression du gène. En fonction de la nature de ce que nous produisons par ce biais, cela peut influer sur notre organisme dans le bons sens, comme dans le mauvais.
Bruce Lipton, PhD – The jump from cell culture to consciousness